Citronnade, version 2

La citronnade version 1 disponible sur ce lien

Ingrédients :

• 5 citrons jaunes bio
• 4 cuillères à soupe de miel liquide
• 250ml d’eau
• 500ml d’eau très froide
• menthe (optionnel)

Ustensiles :

• un économe bien aiguisé
• un entonnoir
• une passoire fine
• un mixeur plongeant ou idéalement un blender

Préparation :

12h avant :
Zestez les citrons avec l’économe bien aiguisé (et non la microplane, une fois n’est pas coutume…) en incluant le moins de « blanc » possible et faites les blanchir 3 fois afin d’enlever l’amertume. Pour ce faire, dans une casserole, recouvrez les zestes d’eau froide et amenez aux ébullition. Plongez les zestes dans l’eau froide immédiatement après ébullition et réitérez l’opération 3 fois en prenant soin de toujours démarrer à l’eau froide.

Pendant ce temps, faites fondre le miel dans les 250ml d’eau dans une casserole sans faire bouillir à gros bouillons. Interrompez la cuisson dès que le miel est fondu et versez le mélange dans un autre récipient afin qu’il refroidisse le plus vite possible.

Pressez les citrons pour en récupérer le jus et la pulpe.

Versez dans votre blender les zestes, le jus des citrons, l’eau/miel refroidi (enfin, pas brûlant quoi) la menthe et les 500ml d’eau bien froide. Mixez.

Couvrez puis laissez au frais au moins une nuit pour que le mélange des saveurs se fasse.

Le jour J :
Avant de servir, filtrez le mélange à l’aide de la passion et si besoin de l’entonnoir.

Voilà votre concentré de citronnade prêt à être utilisé ! Selon les goûts, diluez le avec de l’eau et beaucoup de glaçons. Si vous ne le trouvez pas assez sucré, vous pouvez rajouter du sucre de canne liquide (et surtout pas du sucre en poudre qui risque de ne pas pouvoir fondre dans le mélange froid).
Ce concentré se conserve une semaine au frais et se congèle facilement pour une utilisation ultérieure.

Remarque : petite frustration avec cette technique, le filtrage des zestes filtre aussi la pulpe des citrons et donne un mélange très lisse… La prochaine fois j’essaierai de voir s’il est possible de réserver la pulpe qui flotte à la surface après repos (vs les zestes qui coulent au fond) pour la réintégrer par la suite.